Jusqu'ici, la philosophie naturelle ne s'est jamais trouvée sans tâche, mais toujours souillée et corrompue : dans l'école d'Aristote, par la logique ; dans l'école de Platon, par la théologie naturelle ; dans la seconde école platonicienne, celle de Proclus et des autres, par les mathématiques, lesquelles doivent teminer la philosophie naturelle, et non l'engendrer ou la procréer. Mais d'une philosophie pure et sans mélange, il faut espérer mieux.