Nationalité : France
Né(e) à : Thionville , le 27/09/1967
Né(e) à : Thionville , le 27/09/1967
Biographie :
Francis Renaud est un producteur, réalisateur, scénariste et acteur français.
Il est également artiste peintre, sculpteur et designer à son propre atelier, l'Atelier 9.5.
À 18 ans, il s’installe à Paris afin de devenir un acteur. Enchaînant les figurations - dans "L'Invité surprise" (1989), "La Vieille qui marchait dans la mer" (1991) notamment - et les petits boulots, il décroche en 1994 son premier grand rôle, celui du pickpocket Fifi, dans "Pigalle" de Karim Dridi dont il obtient le prix Michel-Simon.
Dès lors, il tourne pour des cinéastes aussi talentueux que Catherine Breillat (Parfait amour !) et Nicolas Boukhrief (Le Plaisir et ses petits tracas), et réalise son premier long métrage, le drame "Marie, Nonna, la vierge et moi", en 2000.
Sa rencontre avec Olivier Marchal sur le plateau de la série "Police district" va s'avérer déterminante pour la suite de sa carrière. Le comédien-cinéaste lui propose en effet de figurer au générique de son polar "Gangsters" en 2001. Remarquable en flic corrompu, Francis Renaud tournera à nouveau sous la direction d'Olivier Marchal dans ses deux films suivants - "36 Quai des Orfèvres" (2004) et "MR 73" (2007) - et aura l'occasion de lui donner la réplique dans "Scorpion" (2006), drame de Julien Seri sur fond de free-fight.
Habituée aux personnages de malfrat (La Mentale) et de policier (Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse), il trouve également ses plus beaux rôles sur petit écran, dans les téléfilms Le Cri (2005) et L'Affaire Villemin (2006), où il interprète le père du petit Grégory. Francis Renaud enchaine avec deux comédies populaires aux cotés de Kad Merad, RTT (2009) et Monsieur Papa (2010), avant de retrouver son ami Olivier Marchal pour lequel il joue un membre du gang des Lyonnais.
En 2018, il publie un livre "La rage au cœur" chez Hugo et Cie dans lequel il dévoile tout ce qu'il a dû endurer pour obtenir des rôles.
+ Voir plusFrancis Renaud est un producteur, réalisateur, scénariste et acteur français.
Il est également artiste peintre, sculpteur et designer à son propre atelier, l'Atelier 9.5.
À 18 ans, il s’installe à Paris afin de devenir un acteur. Enchaînant les figurations - dans "L'Invité surprise" (1989), "La Vieille qui marchait dans la mer" (1991) notamment - et les petits boulots, il décroche en 1994 son premier grand rôle, celui du pickpocket Fifi, dans "Pigalle" de Karim Dridi dont il obtient le prix Michel-Simon.
Dès lors, il tourne pour des cinéastes aussi talentueux que Catherine Breillat (Parfait amour !) et Nicolas Boukhrief (Le Plaisir et ses petits tracas), et réalise son premier long métrage, le drame "Marie, Nonna, la vierge et moi", en 2000.
Sa rencontre avec Olivier Marchal sur le plateau de la série "Police district" va s'avérer déterminante pour la suite de sa carrière. Le comédien-cinéaste lui propose en effet de figurer au générique de son polar "Gangsters" en 2001. Remarquable en flic corrompu, Francis Renaud tournera à nouveau sous la direction d'Olivier Marchal dans ses deux films suivants - "36 Quai des Orfèvres" (2004) et "MR 73" (2007) - et aura l'occasion de lui donner la réplique dans "Scorpion" (2006), drame de Julien Seri sur fond de free-fight.
Habituée aux personnages de malfrat (La Mentale) et de policier (Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse), il trouve également ses plus beaux rôles sur petit écran, dans les téléfilms Le Cri (2005) et L'Affaire Villemin (2006), où il interprète le père du petit Grégory. Francis Renaud enchaine avec deux comédies populaires aux cotés de Kad Merad, RTT (2009) et Monsieur Papa (2010), avant de retrouver son ami Olivier Marchal pour lequel il joue un membre du gang des Lyonnais.
En 2018, il publie un livre "La rage au cœur" chez Hugo et Cie dans lequel il dévoile tout ce qu'il a dû endurer pour obtenir des rôles.
Source : http://www.allocine.fr
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Je déteste l'injustice, le mensonge, la manipulation, la discrimination, les abus de toutes sortes. Ils n'arriveront jamais à me faire ramper face à leurs crachats. Ils ne me mettrons jamais à genoux. Car, comme le disait Prévert : "ne se mettre à genoux que pour cueillir une fleur".
Je n'ai pas beaucoup de potes dans ce métier, ils finissent tous par vous tourner le dos. Je ne cherche pas à leur ressembler, mais à me rassembler, à être vrai, juste, ce n'est pas gagné. Je comprends mieux pourquoi certains ne partagent pas. On vous donne tout sur un tournage, vous êtes le roi pendant quelques jours d'une histoire où tout est permis. Le sexe, la drogue, l'argent, le désir de réussir, d'atteindre le sommet de la gloire immaculée, sans pièges. Certains sont nés pour briller, d'autres sont nés pour en chier.
Je ne suis pas comme eux, je ne respire pas comme eux . J'aime trop le public pour courber l'échine, me plier à leurs grandes magouilles. Je ne suis pas né pour mentir.
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