J’ai toujours su que je pouvais me débrouiller sans la littérature car, outre écrivain et journaliste, j’ai été charpentier, ébéniste, gazier et peintre en bâtiment. Tant que j’avais les mains libres et souples, et des pieds en bon état, j’étais capable de faire n’importe quoi pour gagner ma vie.
p. 83