Tom Cox est un jeune magicien qui doit voyager dans le temps pour parer aux desseins maléfiques de ses ennemis. Les histoires ne sont pas folles, le style non plus. Peut-être adapté aux collégiens, et encore.
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je n'arrive pas a rentrer dedans... j'ai l'impression de lire un remix de Harry potter à la française ... peut-être que je me trompe mais le début de l'histoire c'est tout à fait la même chose à quelques détails près.
Non je n'y arrive pas une prochaine fois peut-être quand J'aurais oublié Harry potter.
Si quelqu'un veut arriver à me pousser plus loin dans cette lecture, qu'il n'hésite pas à faire un commentaire élogieux sur ce livre
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L’œuvre s’ouvre sur une hécatombe inexpliquée dans un centre commercial chinois – j’ai eu envie de dire : ça commence mal. Puis, nous suivons quatre personnages, des adolescents, dont la vie va être bouleversée parce qu’ils vont être kidnappés pour devenir des agents secrets. Dans ce but, les recruteurs ne reculent devant rien, et n’hésitent pas à tuer/massacrer/supprimer/kidnapper les proches de leurs futurs espions – et là, cela devient sanglant.
Le thème de l’ado espion a déjà été traité par Anthony Horowitz et bien que j’aie lu Stormbreaker et Pointe blanche (les deux premiers tomes des aventures d’Ale Rider) il y a près de quatre ans, je me souviens tout de même que les livres étaient mieux écrits et que les intrigues n’étaient pas aussi nauséeuses. En effet, personne, dans le roman, ne s’élève contre ses scènes barbares, elles sont au contraire ressenties comme étant parfaitement normales, obligées, voyons, il n’y a rien d’abominables à torturer puis tuer une jeune femme qui vient d’accoucher – et là je me suis demandée qui avait un problème, moi ou le narrateur.
Bien sûr, j’ai lu des romans policiers sanglants – ce qui ne veut pas dire qu’aucun personnage ne ressentait un minimum de compassion ou d’empathie pour les victimes. Je n’ai jamais lu un roman dit «de littérature de jeunesse» aussi atroce.
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Sabbah, 13 ans, vit dans une cité parisienne avec sa grande sœur Leïla qui est aussi sa tutrice. Leur mère est partie quand elles étaient petites et elles ont quitté le giron paternel suite à des actes de maltraitance. Leïla se démène dans son travail pour subvenir à leurs besoins. C’est donc décidé, à partir de maintenant, Sabbah ira après ses cours chez ses voisines d’immeuble, les Mavre, qui la « garderont ». On ne peut pas dire que cette perspective réjouisse la collégienne. Il faut dire que Judith (la mère) et Brigitte (la fille) sont connues dans le quartier pour leurs grands cris et leur côté asocial… Mais peu à peu, Sabbah va apprendre à les connaître, et pourquoi pas, à les comprendre.
C’est un petit roman que j’ai pris plaisir à lire du fait du charisme de Sabbah et son côté humaniste.
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Suite au divorce de ses parents, Anna et sa mère aménagent dans une vieille maison ; impasse des Brumes… Une serrure à l’entrée rouillée, des lambris vermoulus, des papiers peints fleuris, une plomberie vétuste, des gravats dans toutes les pièces, la jeune adolescente cherche ce qui a pu séduire sa mère dans ce capharnaüm ! Ne fallait-il pas se méfier de l’annonce : « Maison particulière de caractère, nécessitant quelques travaux de rafraichissement. » ?
Alors qu’Anna désespère, tout en lessivant la nouvelle cuisine, dans le grenier, Rodéric de Rougemare peste après ces nouvelles propriétaires. Dix années de solitude et de sérénité, et voilà maintenant qu’il doit cohabiter avec une femme et sa fille, toutes deux bavardes et bruyantes ! Des envies de zigouillage, de charcutage, de pulvérisation lui passent par la tête. Et pendant que Rodéric fulmine et envisage les pires tourments qu’il pourrait leur faire endurer, Anna visite la demeure, du rez-de-chaussée au… grenier…
Mais au grenier, la curieuse ne s’attend pas à faire la plus extraordinaire expérience de sa vie ! Un fantôme ! Cette forme blanche, vaporeuse, n’est pas une hallucination.
Le roman donne la parole à Anna et Rodéric. Chacun à son tour raconte cette rencontre et cette amitié naissante qui débute assez mal. Rodéric est un fantôme vieux de trois cent soixante cinq ans, qui reste pour l’éternité un adolescent de quatorze ans, âge de sa mort. Anna qui a le même âge aimerait bien s’en faire un ami, et se fait très insistante. Mais d’après les lois du Haut Conseil des fantômes, il est interdit de fréquenter les « vivants » et les sanctions peuvent être terribles !
Que faire lorsqu’il est leur est impossible de s’ignorer ? Entre un jeune homme respectueux des règles et une jeune fille qui s’en soucie fort peu, il y a forcément des étincelles…
Ce livre est le premier et dernier tome d’une série que l’auteur aurait certainement aimé poursuivre comme sa série des Tom Cox que mon fils avait tant aimée, mais décédé trop tôt en 2015, il n’a pas pu le faire.
L’histoire est toute en douceur et humour autour des thèmes du divorce des parents, de l’adolescence et de la vie après la mort. Il existe un monde de fantômes qui vit en parallèle du nôtre, avec leurs codes écrits dans un Paulus. Rodéric a des amis assez singuliers qui voyagent à travers les airs en un claquement de doigts et des ennemis, de méchantes goules qui aspirent l’âme.
Un roman qui se lit facilement et qui pourrait plaire aux jeunes enfants qui commencent à maîtriser la lecture.
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Après ne pas avoir apprécié du tout le tome 1, je suis moi-même étonnée de découvrir des qualités à ce second volet : le lecteur n’a aucun répit, les actions s’enchaînent et plusieurs intrigues s’entrecroisent. Roman pour adolescents ? Certains procédés permettent au lecteur de ne pas être dérouté, comme les chapitres, très courts, ou le fait que le personnage dont le point de vue est adopté est nommé et dessiné en tête de chapitre. Le mystère reste entier, Tous les personnages ont quelque chose ou quelqu’un à cacher, et ce n’est sans doute pas un hasard s’ils sont déracinés (pas ou plus de parents) ou si un de leurs proches est porté disparu. Les meurtres (mis à part celui d’un personnage secondaire important) sont moins nombreux, mais la violence, la torture (morale et physique) sont omniprésentes, banalisés, et ne semblent pas déranger beau coup de personnages (mis à part peut-être Anna, parce que sa sœur et elles en sont victimes). Certes, c’est au lecteur de s’offusquer, d’être dérangé par ces manipulations, mais je me demande si tous les jeunes lecteurs en sont capables.
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Je ne lirai Henri Potier que quand il ne sera plus dans le vent, en attendant, Tom Cox n'a rien à lui envier au potier !
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Je trouve que l'histoire est un peu trop longue à ce mettre en place, sinon c'est pas mal. Les personnages sont intéressants.
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Lecture Jeune, n°131 - septembre 2009 - Les services secrets de la planète sont en alerte maximale : à Pékin, un attentat meurtrier a dévasté un centre commercial. Plus de trois cents morts et aucune arme connue... Au même moment, dans différentes capitales, un mystérieux organisme occulte, le SPS 666, enlève quatre jeunes gens. Dans quel but ? Quel lien existe-t-il entre eux ? Quand nos héros le découvrent, il est trop tard : les voilà engagés malgré eux dans un combat sans merci contre le pire ennemi que la science ait jamais imaginé. L'opération Phénix a commencé !
L'auteur de Tom Cox revient avec une série d'espionnage influencée par les séries télévisées à la mode. Le livre est ainsi présenté en trois parties qui sont autant « d'épisodes » apportant tous un peu plus de suspense. L'auteur utilise la légende précolombienne des crânes de cristal comme point de départ de son histoire. Ceux-ci détiendraient un pouvoir incommensurable. Ils deviennent l'enjeu d'une lutte d'influence entre différentes organisations. Enfin, les quatre adolescents ont des profils suffisamment distincts pour que le lecteur puisse s'identifier à l'un d'eux. Ils deviennent même des super-héros grâce aux modifications physiques et psychiques qu'ils ont subies. Une série qui débute sous les meilleurs auspices et dont on attend la suite avec impatience. Sébastien Féranec
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Il vaut mieux lire le tome 1 pour saisir l'histoire !
Etant donné que je boycotte Henri Potier, je pourrai dire que ce duo de livres mériterait d'être connu et lu par plus de monde !
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