Là, maintenant, j’ai la possibilité de tuer quelqu’un. De commettre l’acte le plus abominable qui soit, d’arrêter une vie. Mais je le fais juste pour détruire le commissaire Durieux comme lui m’a détruit. Je ne suis ni un monstre, ni un pervers, cette femme n’est qu’un dommage collatéral. Demain, je retournerai au travail (je reviendrai sans doute ici), je mangerai un sandwich le midi avec mes collègues, et je continuerai à aider la police à coincer les vrais salauds qui tuent des gens. Et je regarderai, chaque jour, Durieux s’acharner sur cette affaire qu’il ne résoudra jamais.