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Critiques de François Capuron (12)
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Gibier de potence, tome 2 : La Brigade de fer

Vous connaissez mon engouement pour le western… Voilà pourquoi j’ai acheté cette série de quatre bédés, lues l’une après l’autre.



Le scénario est assez classique, mais il a fait le job de me divertir et de m’entrainer dans des aventures assez folles et même, inattendue.



L’histoire commence dans le Tennessee (dont on a tous quelques chose en nous), en 1865.



La guerre de Sécession touche à sa fin, les Sudistes sont en train de perdre et des prisonniers des Johnny Reb sont amenés au fort Mac Laglen et le colonel Granger, un Sudiste est interrogé de manière forte par le capitaine Lopeman, un officier Nordiste de la Brigade de Fer. Le colonel a disparu pendant plusieurs mois et l’officier Nordiste voudrait savoir ce qu’il a fait, car il soupçonne des choses graves…



Les deux premiers tomes concernent la même affaire, à savoir, découvrir le secret bien caché du colonel Granger. L’aventure sera menée par son épouse, sa fille, son jeune fils, quelques Bushwakers (des francs tireurs sudistes) et un métis Indien.



On a des rebondissements, une course-poursuite, parce que vous pensez bien que Lopeman ne va pas les laisser filer ainsi, on a de la bagarre, du suspense, un secret bien caché et une fois les deux premiers albums terminés, on n’a qu’une seule envie : poursuivre la lecture pour savoir ce qu’il va arriver aux différents protagonistes.



La série n’a rien d’exceptionnel, si ce n’est qu’elle est un bon divertissement et qu’elle se lit facilement. Les personnages ont parfois un petit côté stéréotypés, mais certains évoluent, comme l’officier Lopeman, qui n’hésite pas à nouer des alliances si ça le sert. On ne peut pas lui donner tort non plus…



Les deux albums suivants concerneront une autre affaire, même si nous apprendrons ce qu’il est advenu de notre petite troupe et de leurs déboires.



J'ai pris plaisir à découvrir ces deux premiers albums, notamment grâce à leur scénario et aux dessins, qui, bien qu'anguleux, étaient bien réalisés. Le tout dans des tons assez chauds.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Gibier de potence, Tome 4 : Kansas River

Vous connaissez mon engouement pour le western… Voilà pourquoi j’ai acheté cette série de quatre bédés, lues l’une après l’autre.



Le scénario est assez classique, mais il a fait le job de me divertir et de m’entrainer dans des aventures assez folles et même, inattendue.



L’histoire commence dans le Tennessee (dont on a tous quelques chose en nous), en 1865.



La guerre de Sécession touche à sa fin, les Sudistes sont en train de perdre et des prisonniers des Johnny Reb sont amenés au fort Mac Laglen et le colonel Granger, un Sudiste est interrogé de manière forte par le capitaine Lopeman, un officier Nordiste de la Brigade de Fer. Le colonel a disparu pendant plusieurs mois et l’officier Nordiste voudrait savoir ce qu’il a fait, car il soupçonne des choses graves…



Les deux premiers tomes concernent la même affaire, à savoir, découvrir le secret bien caché du colonel Granger. L’aventure sera menée par son épouse, sa fille, son jeune fils, quelques Bushwakers (des francs-tireurs sudistes) et un métis Indien.



On a des rebondissements, une course-poursuite, parce que vous pensez bien que Lopeman ne va pas les laisser filer ainsi, on a de la bagarre, du suspense, un secret bien caché et une fois les deux premiers albums terminés, on n’a qu’une seule envie : poursuivre la lecture pour savoir ce qu’il va arriver aux différents protagonistes.



La série n’a rien d’exceptionnel, si ce n’est qu’elle est un bon divertissement et qu’elle se lit facilement. Les personnages ont parfois un petit côté stéréotypé, mais certains évoluent, comme l’officier Lopeman, qui n’hésite pas à nouer des alliances si ça le sert. On ne peut pas lui donner tort non plus…



Les deux albums suivants concerneront une autre affaire, même si nous apprendrons ce qu’il est advenu de notre petite troupe et de leurs déboires.



Dans les tomes 3 et 4, il est question de chemin de fer, de vengeance, d’un méchant richissime, de coups bas, des magouilles, bref, on ne s’ennuie pas, mais le suspense deux tomes 1 et 2 est retombé, le scénario devient un peu poussif et j’ai trouvé que les deux derniers albums étaient moins intéressants que les deux premiers. Ils leur manquaient le pep’s, les épices, les étincelles pour nous mettre le feu.



De plus, j’ai eu l’impression que le final été expédié en quelques cases, les auteurs nous informant, en quelques lignes, du destin de leurs personnages. Ça fait retomber le soufflé, surtout après les aventures que l’on venait de vivre.



Malgré tout, j’ai pris plaisir à découvrir cette série de 4 albums, notamment grâce au scénario des deux premiers albums et aux dessins, qui, bien qu'anguleux, étaient bien réalisés. Le tout dans des tons assez chauds.



Tomes 1 & 2 : 3,5 étoiles

Tomes 2 & 3 : 3 étoiles


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Gibier de potence, tome 1 : Le jardin des lys

Je partage l'avs global... un bon petit western, efficace, sans réelle surprise, ni mauvaise ni bonne.



Nous sommes en 1865. La Guerre de Sécession se termine. Les camps dénombrent leurs morts. Les Sudistes s'éparpillent. Des bandes armées se forment afin de piller ou de faire encore de la résistance.



Le Colonel Granger, des troupes confédérées, est prisonnier au Fort McLaglen. Il y est interrogé par Lopeman, un capitaine nordiste, violent et vindicatif. son but est d'extirper de Granger l'endroit où il a planqué la cagnotte des troupes confédérées... Lopeman fait partire de la Brigade de Fer dont on ne sait pas grand-chose à ce stade (voir le tome 2...) mais dont on devine qu'il ne s'agit pas d'une chorale d'enfants prépubères chantant des cantiques de Noël.



Pendant ce temps, sa femme et sa fille volent l'argent destiné à rebâtir l'église de Church Hill. Elles vont l'utiliser pour soudoyer d'anciens soldats sudistes et faire libérer le Colonel Granger, déguisées en infirmières et aidées par le médecin du Fort. Un guide indien des troupes nordistes s'évade avec eux. Hélas, le Colonel Granger meurt peu après son évasion, emportant son secret avec lui dans la tombe. Enfin, peut-être pas...



C'est limpide, direct, fort bien dessiné. C'est confortable. Comme signalé plus haut, le hic, c'est que l'on a l'impression d'avoir lu ou vu cela 100 fois. Ce n'est pas spécialement problématique, vu qu'on passe globalement un bon moment.
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Gibier de potence, Tome 4 : Kansas River

Isolé dans la prison d'Ashland, Lopeman n'a pas le choix. Il pactise avec Shannon et Cooper, qu'il est supposé livrer à la justice contre une prime substantielle. Lopeman promet d'intercéder en leur faveur auprès du juge et même de libérer le frère de Shannon et un ami prisonnier également.



Pour l'heure, Lopeman entend bien de venger du gaillard responsable de ses déboires. Il s'agit d'un membre des Six Secrets qui veut fait capoter le projet de pont de chemin de fer au-dessus d'un canyon. Le patron du projet est un officier sudiste responsable de massacres à Ashland pendant la guerre. La scène finale sauve un peu le naufrage (intrigue mal menée, mal montée).



Une dernière page informe le lecteur de ce que sont devenus les protagonistes après la fin des aventures de Lopeman.



Au final, c'est poussif, un peu forcé. Il y a plein de qualités, mais dans le désordre. Cela manque d'étincelle, de peps. On a du mal à s'intéresser aux personnages, à s'émouvoir de leur devenir, à partager leurs soucis. Donc mettre fin à la série est sans doute la meilleure chose à faire.
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Gibier de potence, tome 1 : Le jardin des lys

Les couvertures me faisaient penser au film "Autant en emporte le vent": c'est ce qui m'avait attiré au premier abord. Cependant, après un premier épisode prometteur, force est de constater qu'il n'y a rien de fracassant dans cette histoire.



Une furieuse chauvauchée d'hommes et de femmes prêts à tout pour défendre leur idéaux dans une Amérique dévastée par la guerre de Secession...



Une BD qui souffre véritablement d'un déficit d'envergure et de personnalité. On se perd dans des rebondissements qui ne semblent exister que pour faire atteindre à cette BD son minimum d'exploitation ce qui laisse donc pas mal de temps pour contempler le bâclage général.



De la vraie BD "pop corn" avec ses clichés complaisants faisant référence au grand western de Sergio Léone ou encore de John Ford! Tout juste le dessin semble sauver l'ensemble mais cela ne suffit pas réellement pour en faire un chef d'oeuvre.



Côté plaisir lecture, cette série assure. C'est déjà ça!
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Gibier de potence, tome 3 : Six secrets

La famille Granger est décimée suite aux deux premiers tomes de la tétralogie. Il reste Shannon, la fille en cavale, et son frère qui est prisonnier. Shannon est accompagnée de Cooper, un pisteur indien nordiste, déserteur.



Le tome débute pourtant bille en tête avec un focus sur le Capitaine Lopeman, reconverti en chasseur de têtes (principalement des sudistes), dont les Granger. La scène d'entrée est particulièrement séduisante. On découvre un Lopeman cynique et déterminé, prêt à faire sauter une maison pour récupérer le gibier de potence à l'intérieur. Scène fort humoristique qui rappelle l'atmosphère des Blueberry.



Le tome se poursuit sur un mode mineur. Lopeman finit sur le chantier de construction d'un pont sur une large vallée. En même temps, il doit enquêter sur des détournements de fonds. Shannon Granger et Cooper se font alpaguer par hasard par un chasseur de primes au service de Lopeman. Mais le "Six Secrets", dérangé par Lopeman, jure sa perte... Le Six Secrets, c'est un groupe de notables de la ville qui s'est ligué au moment de la guerre de Sécession, prenant fait et cause pour l'abolitionnisme.



Dessin OK, scénario un peu faible, tortueux et mal agencé dans les feedbacks.
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Gibier de potence, tome 2 : La Brigade de fer

Le Colonel Granger est mort. Sa femme et sa fille, avec quelques rebelles confédérés se dirigent vers une ancienne ville minière où se trouve le trésor planqué par Granger. En l'occurrence, une presse, des plaques et des faux billets. Mais derrière eux, les Brigades de fer, un détachement nordiste animé des plus mauvaises intentions, se rapproche. L'explication finale est inévitable et incertaine.



De nouveau, les auteurs déroulent un scénario sans faille, rodé et efficace mais dépourvu de réelle surprise mauvaise ou bonne (à l'exception de la toute fin qui ouvre le récit vers le 3è tome). C'est néanmoins rythmé et fort agréable à lire. Le dessin est de très bonne facture. Les effets de couleurs (soleil couchant, par exemple) sont bien foutus. Le désert donne chaud. Les roches sont oppressantes. Une agréable série.
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Gibier de potence, tome 1 : Le jardin des lys

Ah, un bon petit western : cela faisait longtemps et généralement ça me plait toujours et puis : "Gibier de potence", voilà un nom qui promet !



L’histoire démarre en compagnie de la famille Granger, enfin, de la mère Louise et de ses deux enfants : William et sa sœur. Car le père, le Colonel Granger est détenu par les nordistes au Fort McLagen. Mais, à l’aide de l’or dérobé aux Yankees et des Bushwakers, une petite bande de francs tireurs sudistes, la petite famille compte bien faire évader leur père.



Tout comme dans "Trio Grande" ou "Comanche" on retrouve une femme aux avant-postes d’un western. Tous les ingrédients d’un bon western sont présents : agression d’un shérif, braquage et vol d’or, évasion d’un fort, un trésor sudiste, de l’alcool, la gâchette facile et même un indien : Nathanaël Cooper qui s’avère être un allié providentiel.



Voilà, j’ai passé un bon moment et je peux maintenant ranger ce tome au milieu des autres western de Delcourt, à côté de "Trio Grande", "Wayne Redlake" et "Chiens de prairie". Le dessin de cette série fait du reste penser à celui de "Trio Grande" et "Wayne Redlake", la coloriste (Isabelle Rabarot) est d’ailleurs la même et Fred Duval a également collaboré sur "Wayne Redlake".

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Gibier de potence, Tome 4 : Kansas River

Ce quatrième tome clos le deuxième diptyque de cette série et signe probablement également la fin de ce western qui, tout comme "Trio Grande" et "Wayne Redlake", mérite une belle place au sein de la collection Conquistador de Delcourt.



On retrouve le capitaine Wallace Lopeman, Shannon Granger et Nathanaël Cooper unis dans l’infortune et obligés de collaborer afin de sortir de l’impasse qui faisait office de cliffhanger à la fin du tome précédent. Cette collaboration forcée entre nos deux fugitifs et le mal en personne nous permettra également de découvrir les réels enjeux qui se cachent derrière les six secrets.



A l’aide d’un scénario bien construit et d’un Colonel Lopeman qui vole définitivement la vedette aux autres protagonistes dans ce deuxième cycle, tous les morceaux du puzzle vont se regrouper pour un final explosif.



Malheureusement, au fil des pages, ce salopard de Lopeman va s’humaniser pour finir par manquer de crédibilité. Je regrette d’ailleurs un peu ces deux dernières planches qui ont probablement pour but d’éviter une fin ouverte, mais qui frôlent finalement le ridicule tout en clôturant cette excellente série de manière maladroite.



Côté dessin, on retrouve toujours ce dessin anguleux, parfois vague, mais qui pour ma part fait mouche. A la colorisation, Scarlett ("Mafia story") vient bizarrement remplacer une Isabelle Rabarot qui s’était faite spécialiste du genre suite à son travail sur les tomes précédents et sur "Trio Grande" et "Wayne Redlake".



Bref, tout en restant qualitativement très légèrement en dessous des excellentissimes "Trio Grande", "Wayne Redlake" et "Chiens de prairie", ce dernier tome pour lequel Delcourt a étonnamment conservé la tranche noire, maintient "Gibier de Potence" parmi le tout bon western spaghetti bien divertissant.
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Gibier de potence, tome 3 : Six secrets

On fait un léger bond dans le temps par rapport au cycle précédent, tout en prenant plaisir à retrouver le Colonel Lopeman, Shannon et Nathanaël, le jeune William et même le vieux shérif bien sympathique tisane de tisane !



Lopeman se voit confier une mission de surveillance de prisonniers confédérés (dont le jeune William) sur un chantier de construction d'un pont pour le passage d'une voie ferrée. Shannon et Nathanaël tentent vainement de se cacher des chasseurs de primes, dont ils forment la convoitise. Lentement et au fil d’un scénario bien construit, leurs chemins vont se rejoindre.



Duval nous avait déjà surpris dans le cycle précédent en confiant le premier rôle à des femmes et il réitère ici en confiant le rôle principal à ce salopard de Lopeman. Il parviendra même à obliger Shannon et Nathanaël à collaborer avec le mal en personne.



La fin du tome laisse le lecteur sur sa faim et impatient de voir comment Lopeman, Shannon et Nathanaël vont s’en sortir, unis dans l’infortune. On est également curieux de découvrir les réels enjeux qui se cachent derrière les six secrets.



Côté dessin, on retrouve toujours ce dessin anguleux, parfois vague, mais qui pour ma part fait mouche. La colorisation, le cadrage et le découpage ne sont pas étrangers à la réussite graphique non plus.



Bref, un nouveau cycle dont on attend la suite avec impatience.
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Gibier de potence, tome 2 : La Brigade de fer

Suite et fin de la première histoire de cette série qui, tout comme "Trio Grande" et "Wayne Redlake", mérite amplement sa place au sein de la collection Conquistador de Delcourt.



Les membres de la famille Granger continuent leur fuite en compagnie de leur sauveur providentiel (l’indien Nathanaël) et ce qui reste de la petite bande de francs tireurs sudistes (les Bushwakers). Ils comptent bien mettre la main sur le trésor caché par le défunt Colonel Granger, mais l’opération s’annonce périlleuse avec l’impitoyable et tenace Capitaine Lopeman et ses hommes à leurs trousses.



Un deuxième tome qui boucle admirablement bien les nombreux évènements du premier tome et délivre toutes les réponses aux questions que le lecteur se posait. Tous les ingrédients d’un bon western à la Sergio Leone sont présents, avec en plus des personnages bien choisis et un scénario très plaisant.



Tout en restant qualitativement très légèrement en dessous des excellentissimes "Trio Grande", "Wayne Redlake" et "Chiens de Prairie", on reste malgré tout dans le tout bon western spaghetti bien divertissant.
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Gibier de potence - Intégrale

Tout d'abord merci aux éditions Delcourt d'avoir eu la bonne idée de rééditer cette série en une version intégrale. Je possédais les 3 premiers tomes et le dernier demeurait introuvable en boutique, et se négociait cher en Occasion.

Je dois le dire tout de suite, je suis un peu déçu.



Premièrement, étant donné que cette édition est une intégrale, je m'attendais à trouver des petits bonus comme des croquis, des crayonnés, une interview ou un petit mot des auteurs... Mais non rien. Les 4 albums se suivent et c'est tout. On à droit à un joli ruban marque page, je m'attendais à plus.



Deuxièmement, concernant l'histoire proprement dite, si les trois premiers tomes s'avèrent haletants, le quatrième tome qui conclut la série est véritablement déroutant. Plusieurs personnages changent radicalement de caractère sans réelles raisons, certains allant à l'opposé de ce qu'ils étaient au début de la série (je pense au capitaine Lopeman).



La conclusion est plutôt abrupte et les destins des protagonistes survivants sont résumés sur deux pages, à la manière d'un dessin et d'un texte explicatif pour chaque personnage. C'est assez décevant de mon point de vue. J'ai vraiment eu l'impression que c'était expédié comme si on se débarrassait de l'histoire pour passer à autre chose. Curieux choix des auteurs qui avaient pris leur temps dans les premiers tomes pour installer les intrigues, principales comme secondaires.

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