…une femme, une femme plus que femme, glorieusement, outrageusement femme, fesses, ventre, mamelles, hanches, rondeurs et plis, une femme fendue haut, large et profond, une femme sans regard et sans bouche parce que sans visage, une femme sans mains, sans pieds, sans rien d’autre que de la femme, de l’exubérance de femme dans la gloire de sa femellité débordante, de la femme délectable et maternelle, montagne de chair, gouffre de délices, qui eût digéré cent mâles et nourri mille enfants.