Sentant la mort prochaine, il compléta le Cantique par la strophe "ma soeur la Mort corporelle", sachant que celle-ci, en son essence, n'est nullement une fin absurde, une figure d'épouvante venant du dehors. Du dehors peuvent venir toutes les agressions possibles; mais la mort elle-même est la part la plus intime de chacun, le fruit que chacun porte en soi, fruit contenant chair, jus et graines, par lequel on pourra renaître autrement, accédant à un autre état d'être.