Dona Pia : [...] Je regardais le film de ma vie. Il y a toujours une image qui chasse l'autre, mais toi tu étais surtout une voix, Amedeo, ta voix était un organe irrésistible...
[...]
Étrange que quand je regarde défiler ma vie je ne vois que les moments où je tombe.
En joie, en larmes, en amour, en capilotade.
Au fond je n'ai jamais cessé de tomber.
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