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Citation de le_Bison


Quand on courait, il n’y avait plus de Japonais. La terre qu’on foulait n’appartenait à personne, même si la conviction profonde de Kee-chung était que cette terre, sous ses foulées, redevenait coréenne. Il se trouvait de plain-pied avec son pays, traçait de nouvelles frontières tout en s’imaginant lutter avec l’ennemi. 
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