Sahlins insiste sur le fait qu'il existe deux façons de considérer le progrès, celle qui est fondée sur l'expansion infinie des besoins, et où, par définition, il ne peut y avoir abondance, et celle où les individus adaptent leurs besoins à leurs possibilités et jugent leur abondance à la quantité d'efforts nécessaires pour satisfaire ces besoins.