On voudrait croire que, quand les choses en viennent enfin à s'accorder, c'est là le bonheur… Or, c'est précisément quand les choses se recoupent complètement et coïncident que cette adéquation, en se stabilisant, se stérilise. La coïncidence est la mort. C'est par dé-coïncidence qu'advient l'essor.