Table des matières
LA COMMUNICATION ORALE ET ÉCRITE
1 La communication langagière
2 Les phonèmes et les graphèmes
LA GRAMMAIRE DU TEXTE
3 Introduction à la grammaire du texte
4 La reprise de l'information
5 Le discours rapporté
6 La modalisation
7 Les marques d'organisation du texte
8 L'organisation textuelle, les modes de discours et les procédés langagiers
LA GRAMMAIRE DE LA PHRASE
9 Les outils d'analyse en grammaire de la phrase
10 La phrase
11 Les transformations de type et de forme
12 Les phrases à construction particulière
13 Les fonctions syntaxiques
14 Le nom
15 Le groupe nominal
16 Le déterminant
17 Le pronom
18 L'adjectif et le groupe adjectival
19 Le verbe et le groupe verbal
20 Le système verbal
21 La préposition et le groupe prépositionnel
22 L'adverbe et le groupe adverbal
23 La jonction de phrases, de groupes et de phrases subordonnées
24 La phrase subordonnée relative
25 La phrase subordonnée complétive
26 Les phrases subordonnées compléments de P et les corrélatives
27 Le système des accords
LA PONCTUATION
28 La ponctuation : fonctions et signes
LE LEXIQUE
29 L'origine et l'évolution des mots français
30 La variation géographique et sociale des mots
31 Les particularités du vocabulaire québécois
32 La formation des mots par dérivation
33 La formation des mots par composition
34 La formation des mots par composition savante
35 La formation des mots par téléscopage, abrègement et emprunt
36 Les familles de mots
37 Le sens des mots
38 Le langage figuré
39 Les relations de sens
40 La combinatoire lexicale
"Son visage, rongé par des années d'abus éthylique, ressemble à une éponge que l'on aurait plongée dans un seau de vin rouge pendant un siècle." (E. page 4)
"un nez plus large qu'un cèpe bordelais et plus boursouflé qu'un chou romanesco." (E. P.4)
Sa vue est plus basse que la marée un jour de pêche au bouquet, et j'espère que son odorat s'est mis en grève car il règne dans cet endroit une odeur qui donne l'impression de se trouver collé sur la langue d'un fennec peinant à digérer un serpent mort depuis six semaines.
Il est plus pâle qu’un matin d’automne en Sologne lorsque la brume, comme une ouate humide, se pose sur la campagne endormie.
Une moquette plus verte que le maillot de Saint-Étienne, et plus usée que le caleçon de mon baptême, assortie de plinthes d’un jaune éblouissant, se présente sous mes pieds.