Un an plus tard, c'est au tour du quatrième fils. Lui se rend au jardin monté sur un cheval, un sabre à la ceinture. Dés que la nuit tombe, il tourne avec son cheval autour du dattier. Il marmonne entre ses dents :
- Viens voleur, viens, je t'attends. Viens, voleur , viens, je t'attends. Quoi! Tu ne viens pas, voleur? Tu as peur? Tu zs vu que je n'étais pas comme mes frères. Je ne suis pas un rêveur, moi. Je ne suis pas romantique, moi. Je suis un guerrier, moi, un guerrier sans pitié! Viens, voleur, viens, je t'attends.