Il faut encore un adjuvant proprement psychique : un désir de vivre, actif chez le malade, qui ressortit essentiellement à l'amour. S'aimer soi-même et espérer l'amour de l'autre.
Ce travail a rythmé mes longues semaines de convalescence puisqu'il était convenu que je lui envoie un texte chaque lundi et elle s'engageait à envoyer ses remarques la même semaine. Cette écriture remettait du rythme dans ma vie alors que mon corps avait perdu le sien.