Un jour que je passais sous l’arbre géant de mon île, quelque chose tomba dans mes cheveux collés par le soleil et le sel. Je glissai mes doigts dans ma tignasse et continuai mon chemin. Je cherchais du bois mort pour le feu que j’allumais chaque soir. A la nuit tombée, ce quelque chose s’était incrusté dans ma tête.
[…]
Le lendemain, une graine avait germé et une plante minuscule déployait deux feuilles. J’essayai de l’arracher avec la lame de mon couteau. En vain.