Les loges vont être accusées de vouloir détruire la religion ou de s'y substituer. Elles s'en défendent, affirmant n'être, comme le disent les Constitutions d'Anderson, que « le centre d'union et le moyen de susciter une véritable fraternité entre des personnes qui auraient été obligées de rester à une perpétuelle distance ». Une sorte d'œcuménisme avant la lettre ?