Vincent peint quelque soit le temps. Il peint vite, amplement, se détourne de plus en plus de la lumière des impressionnistes pour ne chercher que la structure du paysage, à coups d’« oppositions des rouges et des verts, des bleus et des oranges, du souffre et du lilas », disposées presque en aplats. Il ne veut rien savoir de l’évanescence des choses : il s’attache à leur densité.