Un contrat d'un milliard d'euros qui devait permettre la vaccination d'un tiers de la population. Mais puisque les actionnaires devaient être rémunérés toujours plus, les négociations entre les représentants du ministère de la Santé et la direction des grands groupes industriels avaient traîné en longueur. Les vaccins n'étaient attendus qu'en fin d'année, au mieux dans le courant de l'automne, au pire en hiver.