Mais l’impossible, ce n’était pas cela. Ce n’était pas l’archipel, avec son entrelacs inextricable d’îles, de presqu’îles, lesquelles se divisaient en autant de baies et de lacs, en autant de fjords principaux et de fjords secondaires, etc. L’impossible, c’était le glacier lui-même. D’une étendue extrême, il n’avait pas de nom. Il n’avait jamais été cartographié.