Sa thèse était la suivante : la fortune du premier se nourrit du savoir-faire du second. Sans lui, quelle clientèle ? Qui aurait l'idée de se couvrir sans le risque de se faire carotter ? En retour, grâce à l'assureur, le voyou travaille dans la sérénité. Sa mauvaise conscience campe dehors puisque du coupé sport aux grands millésimes en passant par la joncaille, tout ce qui est déclaré est remboursé.