Chaque fois que j'ai eu des maîtresses, c'était pour le fun, pour une nuit ou deux, une occasion trop belle à ne pas laisser passer. Je n'avais peur de rien. Une femme, j'en avais une, et superbe en plus. Je me faisais l'effet d'un riche propriétaire qui visite une autre maison qu'il ne veut pas acheter mais qu'il peut se payer... (p. 268)