"C'est là-bas, sur les voiles de frégates, sur ces terres viergesdont il lisait les récits faits par les explorateurs, que se jouait l'avenir du royaume.La vieille Europe était un rêve terminé. Pour Fouquet, le devenir de la France, ce n'était pas les ors ternis de l'Espagne ou la poussière des Habsbourg, c'était lè-bas, l'Acadie, les Antilles, la Nouvelle-France. C'était l'air pur des océans."