Nationalité : Suisse
Né(e) à : Lausanne , 1975
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Né(e) à : Lausanne , 1975
Biographie :
Née en 1975 à Lausanne en Suisse, Frédérique Mosimann y a grandi jusqu’à l’âge de 13 ans puis s’est déplacée, dans une petite ville de banlieue dans laquelle elle vit encore aujourd’hui.
Initiée à la lecture dès son plus jeune âge, elle se décrit comme une lectrice compulsive, mêlant les genres et les auteurs, au gré de ses envies.
Et puis un jour elle a pris la plume. Tout d’abord, par le biais de poèmes réalisés sur le thème des toiles qu’elle réalisait, puis sur les tableaux d’amis proches et précieux, pour enchaîner et arriver à écrire des nouvelles et des romans.
Son style se veut simple et accessible à tout un chacun. La lecture remplissant une part importante de sa vie, elle souhaite que tout le monde puisse y trouver du plaisir, raison pour laquelle, elle privilégie les ouvrages courts.
Le Café des Écorchés est non seulement un roman empli de bienveillance, mais aussi, une magnifique histoire d’amitié et de confiance.
+ Voir plusNée en 1975 à Lausanne en Suisse, Frédérique Mosimann y a grandi jusqu’à l’âge de 13 ans puis s’est déplacée, dans une petite ville de banlieue dans laquelle elle vit encore aujourd’hui.
Initiée à la lecture dès son plus jeune âge, elle se décrit comme une lectrice compulsive, mêlant les genres et les auteurs, au gré de ses envies.
Et puis un jour elle a pris la plume. Tout d’abord, par le biais de poèmes réalisés sur le thème des toiles qu’elle réalisait, puis sur les tableaux d’amis proches et précieux, pour enchaîner et arriver à écrire des nouvelles et des romans.
Son style se veut simple et accessible à tout un chacun. La lecture remplissant une part importante de sa vie, elle souhaite que tout le monde puisse y trouver du plaisir, raison pour laquelle, elle privilégie les ouvrages courts.
Le Café des Écorchés est non seulement un roman empli de bienveillance, mais aussi, une magnifique histoire d’amitié et de confiance.
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Citations et extraits (13)
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« L’amitié ne consiste pas dans ces démonstrations
excessives, dans cette ardeur effrénée qui n’appartient qu’à
l’amour. C’est un feu doux, mais toujours égal, qui nous
réchauffe sans nous consumer ».
Denis Diderot
excessives, dans cette ardeur effrénée qui n’appartient qu’à
l’amour. C’est un feu doux, mais toujours égal, qui nous
réchauffe sans nous consumer ».
Denis Diderot
Il faut dire que depuis son agression, elle ne sortait que très
peu, le plus souvent accompagnée, de peur que cela ne se
reproduise. De fait, elle n’avait que peu de sollicitations qui
pouvaient stimuler sa créativité, et seuls ses ressentis les plus
sombres s’exprimaient.
peu, le plus souvent accompagnée, de peur que cela ne se
reproduise. De fait, elle n’avait que peu de sollicitations qui
pouvaient stimuler sa créativité, et seuls ses ressentis les plus
sombres s’exprimaient.
Pénélope se remet difficilement d’un burnout qui, avec de longs arrêts de travail, la conduit à un brutal licenciement. Après 11 ans de bons et loyaux services, commence alors son combat pour la reconnaissance de sa maladie.
La rencontre de ces trois accidentés de la vie va leur permettre, à travers leurs épreuves de vie de tisser un lien d’amitié si intense qu’ils vont se réconforter mutuellement.
Ces deux personnages souffrent des influences qu'ont les autres sur eux, notamment les comportements manipulateurs de leurs conjoints. Il apparaît que ce ne sont pas eux les véritables malades, mais plutôt les personnes qu'ils pensent aimer et avec qui ils vivent.
« traversez la rue
soyez les bienvenus
parlez, souriez
vous serez entouré
Asseyez-vous
prenez le temps
c'est entre nous
soyez confiants
vos lourds FARDEAUX
seront allégés
face aux TABLEAUX
que vous contemplez. »
soyez les bienvenus
parlez, souriez
vous serez entouré
Asseyez-vous
prenez le temps
c'est entre nous
soyez confiants
vos lourds FARDEAUX
seront allégés
face aux TABLEAUX
que vous contemplez. »
Personne ne mérite d'être à ce point rabaissé et surtout, devant ses propres enfants.
« Lorsque mon médecin vint m'appeler, je me suis levée d'un coup, en baissant la tête et je marchais très vite pour parvenir jusqu'au cabinet, et éviter tous ces regard qui me dérangeaient. Il me connaissait depuis plus de 15 ans et a été très surpris de mon comportement. Moi qui habituellement, même malade, restais souriante, enjouée et gardais la tête haute. »
« cette période m'a été extrÊmement difficile À vivre et j'avous elle l'est toujours aujourd'hui. Certes, je M'ÉTAIS rendue malade en bossant comme une ding, mais ce travail Était mon seul exutoire.
La collaboration avec mon chef était PARTICULIÈREMENT agréable, tant la confiance entre nous était grande. NÉANMOINS aprÈs plus de 10 ans, cela semble normal. »
La collaboration avec mon chef était PARTICULIÈREMENT agréable, tant la confiance entre nous était grande. NÉANMOINS aprÈs plus de 10 ans, cela semble normal. »
Je me plais à dire que je suis une artiste intuitive, donc ça doit aller vite, sinon mon ressenti risquerait de changer.
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Avoir l'esprit d'escalier, c'est: (Indice: image du quiz.)
avoir le vertige en regardant les marches d'un escalier
avoir la phobie de l'ascenseur
monter les marches à toute allure pour garder la forme
manquer de répartie
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