J'atterris dans le couloir, le souffle court. Je reste plantée là un moment, le temps que mon rythme cardiaque revienne à la normale. En fait, je n'ai jamais été enfermée dans la chambre. Nina n'a pas conçu le moindre plan dément pour me piéger là-dedans. La porte était juste coincée. Cependant, je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de malaise.