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Citation de Partemps


L'activité idéale, encore illimitée, est la tendance infinie du moi à devenir l'objet réel. En vertu de ce qui est idéal dans l'activité réelle (ce qui en fait une activité du moi ), il peut se rapporter à l'idéal et regarder le moi en lui (le moi devenant d'abord objet de lui-même).

Mais le moi ne peut voir l'activité réelle comme identique à elle-même sans y trouver en même temps le négatif , qui la rend non idéale, comme quelque chose d'étranger à lui-même. Le positif, qui fait que les deux activités du moi ont toutes deux en commun, le négatif n'appartient qu'au réel ; dans la mesure où l'ego qui regarde reconnaît le positif dans l'objectif, ce qui est vu et vu est un, dans la mesure où il y trouve le négatif, ce qui trouve n'est plus un avec ce qui est trouvé. Le trouver est l'absolument illimité et l'illimité, le trouvé est le limité.

La limite elle-même apparaît comme quelque chose d'abstrait de ce qui peut et ne peut pas être posé, comme quelque chose d'accidentel ; le positif dans l'activité réelle comme ce dont on ne peut faire abstraction. Pour cette raison même, la limite ne peut apparaître que comme quelque chose de trouvé, c'est-à-dire d'étranger au moi, contraire à sa nature.

Le je est la base absolue de toute position. Quelque chose s'oppose à l'ego, ce qui veut dire que quelque chose est posé qui n'est pas posé par le Je. Ce qui regarde doit donc trouver quelque chose dans ce qui est vu (la limitation) qui ne soit pas posé par le moi comme ce qui regarde.
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