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Critiques de Fuat Erkol (30)
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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

Aeka, dix ans. Peu de choses l'émerveillent. Lors de la fête annuelle célébrant la fin des dragons, elle est tout de même épatée par le spectacle de ce dragon ressuscité par un grand magicien.

Quelques jours plus tard, un homme seul se présente devant le palais forteresse de son père et procède à un grand nettoyage. Il n'épargne qu'Aeka…

Pourquoi fait-il cela ? Qui l'a commandité ?





Critique :





La couverture est d'un graphisme époustouflant.

Ils se sont mis à deux pour réaliser le scénario : Fuat Erkol et Christian Simon. Qu'en dire ? Pas grand-chose. Cet album est une sorte d'introduction qui nécessite une suite.

Mais ce qui est fabuleux, c'est la qualité du graphisme. Fabrizio Cosentino, jeune dessinateur italien, accomplit là un album très plaisant à contempler dans un univers fantastique très japonais. La mise en couleurs tient parfaitement compte des atmosphères que le dessinateur veut faire ressentir au lecteur.

Kamiti est une maison d'éditions qui a vu le jour en 2018 et qui a déjà publié de fort intéressants albums de science-fiction et de fantastique.

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Awrah, tome 2 : Le Maudit

Une famille brisée par la jalousie et le désir, voilà ce qui reste à Tahar désormais en prison pour avoir porté la main sur son frère, pour avoir pris le cœur d'une femme que son père désirait. Mais le destin va de nouveau réunir Tahar et Nadia.



Une jolie et triste histoire d'amour, un drame à l'orientale.

Et à cette histoire d'amour et de famille, va se mêler une autre plus ancienne. Celle de deux frères : l'un est le préféré de son père, le cadet porte sur ses épaules le fait d'avoir survécu alors que la mère est morte en couche. Une histoire d'enfance que le désir de se faire aimer d'un père qui ne voit en lui que l'assassin de sa femme, brise et fait naitre jalousie, haine, colère, et désir de vengeance...

Les aquarelles sont toujours très belles, elles rendent bien les émotions qui sont très fortes à la fin de ce tome.
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Awrah, tome 1 : La Rose des sables

Tahar est un petit voleur des rues qui va voir son destin basculer le jour où un homme riche et généreux le prend sous son aile. Il lui donne un foyer, une éducation et l'aime comme son fils. Ce qui n'est pas au gout du fils légitime.



L'histoire se passe quelque part au moyen-orient et a cette saveur orientale si particulière qui nous fait voyager.

Le scénario de base est très classique. Le jeune voleur qui devient honnête et respectable, un jeune homme tout à fait charmant auquel on s'attache facilement. Mais cette pièce rapportée fait naitre la jalousie au sein de la famille et qui dit jalousie dit discorde et conflits familiaux surtout quand une jolie jeune femme vient se mettre entre tous les hommes du foyer. Tout cela ne peut finir qu'en drame...

Malgré l'histoire un peu convenue, et une histoire un peu trop "je l'ai aimé dès le premier regard", ce fut une lecture plaisante.

J'ai apprécié les dessins. De très jolies aquarelles qui nous transportent avec facilité dans les saveurs orientales. J'ai aimé le soins apportés aux textures et aux nombreux motifs des tissus reflétant la richesse et le luxe des drapés orientaux.
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Awrah, tome 1 : La Rose des sables

Une très belle surprise que cet album dessiné par la très talentueuse Ana Luiza Koehler sur un excellent scénario de Christian Simon et Fuat Erkol.

Ce tome démarre comme le Voleur de Bagdad et se poursuit comme un conte de Mille et une nuits. Mais c'est un conte cruel, déchirant et réservé par quelques scènes érotiques et d'autre plus violentes à un public averti. Mais reste-t-il encore des enfants ?

Si nous n'étions pas en Orient, les qualificatifs de cornélien ou shakespearien auraient pu être accordé à ce drame qui se noue ici et dont on ne comprend pas touts les tenants.

De très belles images donc et une mise en couleur sensible appuient un découpage intelligent, une belle réussite.

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Awrah, tome 1 : La Rose des sables

Malgré un dessin très agréable, je n'ai pas vraiment réussi à adhérer à ce récit qui tient beaucoup des contes (des mille et une nuits?). Un jeune mendiant adopté par un homme plein de bonté, un méchant frère, une beauté mystérieuse, l'amour dès le premier regard...

Les personnages profondément manichéen manquent de crédibilité et j'ai trouvé les ressauts de cette histoire terriblement convenus.

J'attends le second tome pour me faire un avis définitif...
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Awrah, tome 2 : Le Maudit

Dans ce second tome, le scénario révèle toute sa maestria.

Une multitude de rebondissements et de révélations sont faites. Tout s'imbrique parfaitement, rien n'est laissé au hasard, tout à un sens. Avec une belle réflexion sur les relations dans la famille, les difficultés rencontrées, la jalousie mais aussi l'amour fraternel. Je trouve tout ça bien pensé et bien amené. Avec douceur et violence.

La fin nous réserve des surprises jusqu'à la dernière page. Pas vraiment ce à quoi on aspirait mais très juste et qui rend le récit plus fort.

Les personnages sont attachants avec une vraie complexité. Bien sur on a nos préférences mais on comprend chacun.

Les dessins sont toujours splendides. Le trait est fin, les cases très détaillées. Et les décors comme les personnages sont une belle réussite.
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Awrah, tome 2 : Le Maudit

Fin de ce diptyque consacré à l'amour et, surtout, aux luttes fratricides.

L'histoire manque d'originalité dans l'ensemble mais ce qui m'a surtout dérangé c'est cette impression constante de remplissage. Je crois que l'histoire aurait facilement tenu en un tome un peu plus gros qu'e, deux tomes dont on peut facilement ôter la moitié des cases.

Tout cela se lit toutefois assez vite, surtout grâce aux dessins qui sont très beaux.

Vite lu mais également vite oublié je pense...
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Awrah, tome 2 : Le Maudit

Alors que le premier album nous avait étonné par sa beauté et la finesse des caractères et des personnages présentés, il se terminait sur un drame terrifiant. Ce second volet va laisser se dérouler l'implacable destinée de nos héros.

Si la présence du surnaturelle provoque l'enchaînement des faits, les auteurs n'ont absolument pas négligé l'étude psychologique des personnages, usant de ce que l'on a nommé il y a peu un karma familial. tout cela fait dans le respect de l'approche orientaliste choisie et fort bien documenté.

La mise en situation est parfaite, violente et cruelle parfois.

Mais tout est justifié, réfléchi.

Une oeuvre originale et très mature.
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Awrah, tome 1 : La Rose des sables

Un premier tome qui séduit dès les premières cases.

Grâce aux merveilleux dessins. De belles aquarelles précises et détaillées avec des décors plus vrais que nature et des personnages agréables et expressifs. La couleur est douce.

Le récit est prenant malgré une histoire simple sur une famille avec son lot de jalousie, de tendresse, de fierté et d'obligation. Un quotidien fait de choix et de coups durs. Simple mais efficace avec assez de rebondissements pour être intéressant.

Tahar est un personnage principal agréable et attachant, humain avec une personnalité et un vécu travaillé. Même les autres qui sont moins détaillés ont un point de vue intéressant et étudié pour l'histoire.
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Awrah, tome 1 : La Rose des sables

Cela commence comme Aladin, le Prince des voleurs of Persia. Cela se termine comme une tragédie grecque. Bien évidemment, j'ai adoré. Non pas que cela soit cinématographique dans l'âme mais c'est joliment dessiné au service d'une histoire cohérente et prenante même si on devine les aboutissants.



Je regarde toujours la manière dont c'est réalisé et je ne peux que constater une bonne mise en oeuvre. Je me rends compte également que cette galerie Daniel Maghen produit des oeuvres de qualité avec un souci constant de la recherche du plus bel esthétisme.



Juste un bémol sur la couverture du premier tome qui en dit trop long. Ce n'est pas forcément le meilleur choix! Pour le reste, on se plongera avec délice au milieu de cette belle histoire d'amour digne des plus grandes oeuvres théâtrales. Que les femmes sont fascinantes! Bon, celle-ci est tout de même un peu piquante!
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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

Aeka est un magnifique album édité chez Kamiti. Le graphisme est d’une beauté saisissante. Tous les tons sont employés selon la situation. Dans les moments sombres, le graphisme l’est également. L’histoire est triste et mettra en avant la jeune femme de la couverture : Aeka. A priori elle semble bien vivre, être aimée. C’est le temps où se déroule une fête qui l’impressionne, où on lui conte l’histoire des dragons. Espiègle, belle, rusée, elle est transportée et le lecteur avec. Mais après avoir été comblée, après avoir vécu un moment mémorable, elle perd tout. Ses parents se font assassinés sous ses yeux, et elle ne peut rien faire. L’assassin l’emmène avec lui. Elle passe classiquement par toutes les phases, elle tente de se rebeller, s’enfuir. Mais la voilà au bord du gouffre, sans plus d’espoir. Mais pourquoi ne l’a tue-t-il pas ? Pourquoi a-t-il tué ses parents ? Pourquoi lui parle-t-il d’apprendre à se battre ? Elle rêve que d’une chose tuer l’assassin de sa famille. Mais quelle est la vérité ? Les livres d’Histoire ne la dise pas forcément, ils se placent du côté du vainqueur. Aeka apprend au côté de cet assassin à devenir extrêmement douée, à écouter, à anticiper, à se battre comme jamais. Ses enseignements sont précieux, et il lui faudra du temps, de la patience, de l’exercice et de la persévérance. Il lui a promis qu’elle pourrait se battre contre lui. Pourquoi cet homme se donne-t-il tant de mal pour apprendre son art du combat, les lois de la nature, à la jeune Aeka ? Le graphisme et l’histoire nous saisissent tous les 2 aux tripes. A découvrir.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

La très jolie couverture est bien en phase avec l'histoire et dotée d'un vernis sélectif. La maquette est très propre, la quatrième de couverture intrigante. Très bon travail d'édition... hormis une ou deux coquille que l'on pardonnera à l'un des premiers albums de l'éditeur.



Alors que l'on célèbre la fête des dragons comme chaque année, Aeka voit sa famille massacrée devant ses yeux par un énigmatique guerrier masqué, aussi impitoyable qu'invincible. Enlevée par lui, elle va être entraînée aux arts guerriers par son propre ennemi, jusqu'à ce qu'elle soit capable de le terrasser. Mais l'homme semble lié au passé qui a vu la défaite des hommes sur les Dragons...



Aeka est une histoire de vengeance, de sabre et de dragons. Pas mal comme pitch. L'album commence pourtant assez lentement, voir même de façon assez banale pour ce genre d'univers, juste de quoi nous faire toucher du doigt la personnalité forte de l'héroïne et le contexte semi-fantastique du japon des samouraï. J'ai cru un moment que l'on verserait dans une énième histoire de Shogun et d'histoire d'honneur... Mais dès l'irruption du guerrier, en une scène assez réussie, on est accroché. L'album se lit assez vite avec la formation de la jeune fille qui doit apprendre à se surpasser et développer ses sens, quasi surnaturels dans des décors sylvestres. Si elle n'a rien de révolutionnaire, l'intrigue est intéressante, comportant suffisamment de mystère pour donner envie de poursuivre et le scénario avance à un rythme bien équilibré en progression. La mise en scène est du reste efficace.



Sur le dessin j'ai eu un peu de mal en revanche. Rien de honteux, l'illustrateur sait tenir des crayons, mais on est plus dans la qualité moyenne d'un album de fantasy de chez Soleil que sur le précédent album de Kamiti. Tout le monde ne peux pas avoir le même niveau et quand on voit l'illustration de couverture  et la qualité des encrages on peut gager que Fabrizio Cosentino a de la marge de progression, d'autant que sur la maîtrise de la mise en scène il n'y a rien à redire, c'est lisible et parfois même assez sympathique pour certaines planches. J'avais lu le premier Monde de Maliang sur lequel j'avais trouvé les dessins très réussis et malheureusement tiqué sur la reprise (par Consentino) avec des dessins manquant de technique. Pourtant quand on voit la page web de l'auteur il y a clairement du potentiel, notamment dans la colorisation numérique.



En résumé, on a ici un album de fantasy assez classique tendance adolescents, qui ne sort pas forcément du lot de la production grand public mais reste d'une lecture agréable et dont la progression scénaristique sait attirer vers les prochains volumes, avec un contexte mystérieux qui peut faire gagner la série en qualité dans le temps. Et pour peu que le japon médiéval vous botte vous pourrez passer un très bon moment en compagnie d'Aeka.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

Cette série nous emmène au cœur d'une autre culture et d'une autre époque, et met en lumière une héroïne forte et indomptable. Nous suivons son parcours, les événements qui l'ont façonnée et qui l'ont fait devenir la femme guerrière qu'elle est aujourd'hui. Même si l'histoire se passe dans une civilisation japonaise, le dessin est très proche de la BD francobelge, plus que du manga, tant dans les illustrations que dans la colorisation. Les lecteurs qui aiment les scènes d'action et de combats seront ravis, et ceux qui apprécient la figure du dragon devraient également y trouver leur compte. Le premier tome pouvait avoir quelques moments de flottements, qui prennent sens à la lecture du second volume. Un diptyque plutôt sympathique, qui aborde des thématiques que j'ai pu l'habitude de découvrir ! 

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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

Je ne sais pas si j'ai été la seule à ressentir ça concernant cette BD, mais je ne l'ai pas trouvée réellement cohérente et compréhensible. L'histoire est trop complexe, les planches ne sont pas très exploitées et tout va trop vite. À plusieurs reprises je me suis dit '' ça n'a ni queue ni tête''. Cela dit, je tiens à souligner les illustrations qui sont belles, les couleurs nous plongent rapidement dans une ambiance sombre. Certaines planches sont violentes mais cela dépeint bien le monde des samouraïs. Je ne saurais dire pourquoi exactement mais l'histoire m'a doucement fait sourire ( malgré le côté très tragique) car j'ai trouvé des ressemblances avec l'univers de Naruto, notamment avec le personnage d'Itachi....
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Aeka, tome 1 : Hiver Rouge

Je n’ai pas aimé cette BD car je n’ai pas trouvé le sens de l’histoire. Les seules choses que j’ai aimées ce sont les dessins des personnage sont réalistes.



Elève de 5e4 des Eshcoliers de la Mosson
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Le monde de Maliang, tome 4 : Le ruban

Ces deux derniers tomes de la série « Le monde de Maliang » s’inscrit dans la parfaite continuité de ce que le début de la série a insufflé: une histoire d’aventure, peuplée de quelques mystères, avec des enfants venus de contrées lointaines et touchés par des phénomènes fantastiques. Tout est donc réuni pour satisfaire un public de lecteurs assez jeunes mais restera tout de même assez simple pour un lectorat plus âgé et avisé, même si l’efficacité est présente.
Lien : https://blogleslecturesducha..
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Le monde de Maliang, tome 3 : Le miroir

Le troisième tome du « monde de MaLiang » reste exactement sur la même construction au niveau du scénario. Même si ce dernier reste plaisant par sa simplicité et son efficacité, agrémenté par de belles illustrations, on aimerait que l’intrigue évolue un peu et qu’elle réponde aux questions qui sont sans cesse soulevées.


Lien : https://blogleslecturesducha..
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Le monde de Maliang, tome 5 : L'oiseau

Hier soir, j'ai terminé le quatrième tome du monde de Maliang. Comme toujours, il y a un cliffhanger à la fin de la bande-dessiné qui nous laisse sur notre faim. Là, c'est différent, l'intrigue est axer sur le monde parallèle mais ce qui m'a le plus déçu fut qu'il avait un frère jumeau diabolique. Peut-être une certaine allusion au Yin et au Yang, la glace contre le feu. Même le merveilleux oiseau, je crois un phoenix ou phénix aurait pu changer la donne dans cette histoire. Malgré une fin écrit à la va-vite, cette série vaut la peine d'être lu à la fois pour les dessins et l'histoire en général.
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Le monde de Maliang, tome 4 : Le ruban

Comme toujours on est happé par les aventures du jeune Maliang et de ses amis au pouvoir incommensurable. Ils tentent d'évadé par magie Tsai Chen mais ils se rendent compte que c'est un piège. Ils réussissent à s'en sortir indemne puis de retour chez eux, ils découvrent une petite fille qui elle aussi à un objet magique un ruban. Une fois en mouvement, ils les transportent chez le vieux monsieur qui leur avait donné leurs objets magique. Maintenant, ils ont une nouvelle mission se rendre dans un monde parallèle avec les objets et combattre un infâme magicien... J'ai déjà hâte de lire la suite de cette série.
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Le monde de Maliang, tome 3 : Le miroir

Il y a de cela quelques semaines, j'avais pris en même temps le conte de Xun Tao Hung Le pinceau magique que j'avais adoré et le monde de Maliang de façon par hasard. Pour me rendre compte une fois ma lecture terminé du conte que Liu Yang avait fait une version BD. Dans cette histoire, on suit le nouvel ami de Maliang, Jiao qui lorsqu'il joue de la flûte le temps s'arrête et tant aussi longtemps qu'il joue. Mais, quelqu'un d'autre est en possession d'un autre objet magique, un miroir qui aurait le pouvoir de faire apparaître des immortels. Comme toujours l'intrigue est prenante et les enfants très attachant, j'ai déjà hâte de la lire le quatrième tome de cette série.
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