AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Aeka tome 1 sur 2
EAN : 9791097477028
46 pages
KAMITI (25/05/2018)
3.29/5   14 notes
Résumé :
Un tueur épargne une fillette après avoir massacré toute sa famille. Il l'entraîne alors pour qu'elle puisse se venger de lui. Mais ce n'est pas la seule raison Japon. Moyen-Age. Aeka, fille unique du riche seigneur Yashitara, assiste aux somptueuses célébrations annuelles fêtant la fin des dragons. Peu après, un personnage masqué pénètre dans le palais et massacre toute sa famille. Pourquoi le tueur l'a-t-il épargnée et pourquoi veut-il la former afin qu'elle accom... >Voir plus
Que lire après Aeka, tome 1 : Hiver RougeVoir plus
Shi, tome 1 : Au commencement était la colère... par Zidrou

Shi

Zidrou

4.15★ (1895)

6 tomes

La rose écarlate, tome 1 : Je savais que je te rencontrerais par Lyfoung

La rose écarlate

Patricia Lyfoung

4.06★ (13745)

19 tomes

Rapaces - Intégrale par Dufaux

Rapaces - BD

Jean Dufaux

3.79★ (1248)

5 tomes

La venin, tome 1 : Déluge de feu par Astier

La venin

Laurent Astier

4.09★ (867)

4 tomes

Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Aeka, dix ans. Peu de choses l'émerveillent. Lors de la fête annuelle célébrant la fin des dragons, elle est tout de même épatée par le spectacle de ce dragon ressuscité par un grand magicien.
Quelques jours plus tard, un homme seul se présente devant le palais forteresse de son père et procède à un grand nettoyage. Il n'épargne qu'Aeka…
Pourquoi fait-il cela ? Qui l'a commandité ?


Critique :


La couverture est d'un graphisme époustouflant.
Ils se sont mis à deux pour réaliser le scénario : Fuat Erkol et Christian Simon. Qu'en dire ? Pas grand-chose. Cet album est une sorte d'introduction qui nécessite une suite.
Mais ce qui est fabuleux, c'est la qualité du graphisme. Fabrizio Cosentino, jeune dessinateur italien, accomplit là un album très plaisant à contempler dans un univers fantastique très japonais. La mise en couleurs tient parfaitement compte des atmosphères que le dessinateur veut faire ressentir au lecteur.
Kamiti est une maison d'éditions qui a vu le jour en 2018 et qui a déjà publié de fort intéressants albums de science-fiction et de fantastique.
Commenter  J’apprécie          210
La très jolie couverture est bien en phase avec l'histoire et dotée d'un vernis sélectif. La maquette est très propre, la quatrième de couverture intrigante. Très bon travail d'édition... hormis une ou deux coquille que l'on pardonnera à l'un des premiers albums de l'éditeur.

Alors que l'on célèbre la fête des dragons comme chaque année, Aeka voit sa famille massacrée devant ses yeux par un énigmatique guerrier masqué, aussi impitoyable qu'invincible. Enlevée par lui, elle va être entraînée aux arts guerriers par son propre ennemi, jusqu'à ce qu'elle soit capable de le terrasser. Mais l'homme semble lié au passé qui a vu la défaite des hommes sur les Dragons...

Aeka est une histoire de vengeance, de sabre et de dragons. Pas mal comme pitch. L'album commence pourtant assez lentement, voir même de façon assez banale pour ce genre d'univers, juste de quoi nous faire toucher du doigt la personnalité forte de l'héroïne et le contexte semi-fantastique du japon des samouraï. J'ai cru un moment que l'on verserait dans une énième histoire de Shogun et d'histoire d'honneur... Mais dès l'irruption du guerrier, en une scène assez réussie, on est accroché. L'album se lit assez vite avec la formation de la jeune fille qui doit apprendre à se surpasser et développer ses sens, quasi surnaturels dans des décors sylvestres. Si elle n'a rien de révolutionnaire, l'intrigue est intéressante, comportant suffisamment de mystère pour donner envie de poursuivre et le scénario avance à un rythme bien équilibré en progression. La mise en scène est du reste efficace.

Sur le dessin j'ai eu un peu de mal en revanche. Rien de honteux, l'illustrateur sait tenir des crayons, mais on est plus dans la qualité moyenne d'un album de fantasy de chez Soleil que sur le précédent album de Kamiti. Tout le monde ne peux pas avoir le même niveau et quand on voit l'illustration de couverture  et la qualité des encrages on peut gager que Fabrizio Cosentino a de la marge de progression, d'autant que sur la maîtrise de la mise en scène il n'y a rien à redire, c'est lisible et parfois même assez sympathique pour certaines planches. J'avais lu le premier Monde de Maliang sur lequel j'avais trouvé les dessins très réussis et malheureusement tiqué sur la reprise (par Consentino) avec des dessins manquant de technique. Pourtant quand on voit la page web de l'auteur il y a clairement du potentiel, notamment dans la colorisation numérique.

En résumé, on a ici un album de fantasy assez classique tendance adolescents, qui ne sort pas forcément du lot de la production grand public mais reste d'une lecture agréable et dont la progression scénaristique sait attirer vers les prochains volumes, avec un contexte mystérieux qui peut faire gagner la série en qualité dans le temps. Et pour peu que le japon médiéval vous botte vous pourrez passer un très bon moment en compagnie d'Aeka.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
Commenter  J’apprécie          30
Aeka est un magnifique album édité chez Kamiti. le graphisme est d'une beauté saisissante. Tous les tons sont employés selon la situation. Dans les moments sombres, le graphisme l'est également. L'histoire est triste et mettra en avant la jeune femme de la couverture : Aeka. A priori elle semble bien vivre, être aimée. C'est le temps où se déroule une fête qui l'impressionne, où on lui conte l'histoire des dragons. Espiègle, belle, rusée, elle est transportée et le lecteur avec. Mais après avoir été comblée, après avoir vécu un moment mémorable, elle perd tout. Ses parents se font assassinés sous ses yeux, et elle ne peut rien faire. L'assassin l'emmène avec lui. Elle passe classiquement par toutes les phases, elle tente de se rebeller, s'enfuir. Mais la voilà au bord du gouffre, sans plus d'espoir. Mais pourquoi ne l'a tue-t-il pas ? Pourquoi a-t-il tué ses parents ? Pourquoi lui parle-t-il d'apprendre à se battre ? Elle rêve que d'une chose tuer l'assassin de sa famille. Mais quelle est la vérité ? Les livres d'Histoire ne la dise pas forcément, ils se placent du côté du vainqueur. Aeka apprend au côté de cet assassin à devenir extrêmement douée, à écouter, à anticiper, à se battre comme jamais. Ses enseignements sont précieux, et il lui faudra du temps, de la patience, de l'exercice et de la persévérance. Il lui a promis qu'elle pourrait se battre contre lui. Pourquoi cet homme se donne-t-il tant de mal pour apprendre son art du combat, les lois de la nature, à la jeune Aeka ? le graphisme et l'histoire nous saisissent tous les 2 aux tripes. A découvrir.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
Commenter  J’apprécie          50
Cette série nous emmène au coeur d'une autre culture et d'une autre époque, et met en lumière une héroïne forte et indomptable. Nous suivons son parcours, les événements qui l'ont façonnée et qui l'ont fait devenir la femme guerrière qu'elle est aujourd'hui. Même si l'histoire se passe dans une civilisation japonaise, le dessin est très proche de la BD francobelge, plus que du manga, tant dans les illustrations que dans la colorisation. Les lecteurs qui aiment les scènes d'action et de combats seront ravis, et ceux qui apprécient la figure du dragon devraient également y trouver leur compte. le premier tome pouvait avoir quelques moments de flottements, qui prennent sens à la lecture du second volume. Un diptyque plutôt sympathique, qui aborde des thématiques que j'ai pu l'habitude de découvrir ! 
Commenter  J’apprécie          20
Je ne sais pas si j'ai été la seule à ressentir ça concernant cette BD, mais je ne l'ai pas trouvée réellement cohérente et compréhensible. L'histoire est trop complexe, les planches ne sont pas très exploitées et tout va trop vite. À plusieurs reprises je me suis dit '' ça n'a ni queue ni tête''. Cela dit, je tiens à souligner les illustrations qui sont belles, les couleurs nous plongent rapidement dans une ambiance sombre. Certaines planches sont violentes mais cela dépeint bien le monde des samouraïs. Je ne saurais dire pourquoi exactement mais l'histoire m'a doucement fait sourire ( malgré le côté très tragique) car j'ai trouvé des ressemblances avec l'univers de Naruto, notamment avec le personnage d'Itachi....
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
La mise en bouche est plaisante...
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : sangVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (22) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5230 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}