Douceur ardue : l’inconnu nous visite et des lions s’agenouillent. Le plein était un vide et ce vide chantait. L’amour le répéta.
Les arbres s’en réjouirent. Nous ferons des progrès.
Depuis les nœuds de cette route, j’ai vu l’horizon comme un cerceau dévaler les collines et j’ai mis mon bonheur dans la partance du matin.
(extrait de “Là où dansent les éphémères”, chez Le Castor Astral)