Entre le punk et le clown, l'autodérision est commune. Le punk dit : regardons-nous échouer. Le clown constate son échec. (...) On en rit, on l'aime de nous permettre de croire qu'il est plus imbécile que nous, mais ses yeux grands ouverts nous disent aussi la compassion qu'on doit à nos vulnérabilités. Il est notre miroir déchu, et notre permission d'exister là où nous échouons.