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Lecture par Gabrielle Giasson-Dulude des textes de Louise Warren, Claude Beausoleil, Michael Delisle, Pierre Nepveu, Jacques Rancourt, Monique Adam, Nicole Brossard, Mathieu Simoneau, Andréane Frenette-Vallières et Marie Bélisle Un livre anniversaire pour les 50 ans du Noroît sous la direction de Monique LeBlanc Captation et montage audio par Anthony Julien pour Littérature Québécoise Mobile © Noroît 2021


Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Une pensée à prétention objective nous laisse entendre que la lecture du monde la plus juste est celle qui s'absente à une part de soi : l'expérience jugée la plus fidèle au réel étant la plus détachée.
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Les gens ont parfois en commun d'aimer les idées qui nous ouvrent les cages.
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Dans le travail vocal, on parle d'appuis, permettant de soutenir la voix, comme si apprendre à chanter, c'était chercher en soi-même des sols, des murs où s'appuyer. Puis, la voix, il lui faut des surface de réflexion, de la matière dure : plus le matériau est dense, plus elle nous revient. Ma voix ne se réajuste, ne se pose, ne se clarifie qu'à entendre un retour de son propre son. De même, quand j'écris, pour m'entendre, je retourne au texte, je reformule les phrases, je m'y baigne, pour me dégager, me revenir autre.
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Entre le punk et le clown, l'autodérision est commune. Le punk dit : regardons-nous échouer. Le clown constate son échec. (...) On en rit, on l'aime de nous permettre de croire qu'il est plus imbécile que nous, mais ses yeux grands ouverts nous disent aussi la compassion qu'on doit à nos vulnérabilités. Il est notre miroir déchu, et notre permission d'exister là où nous échouons.
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Dire l'abus, c'est souvent pointer du doigt la violence d'une personne que l'on a aimée ou que l'on aime, cette personne elle-même multiple : vulnérable, blessée, faillible. Ainsi dire l'abus place souvent les victimes dans la position intenable de faire violence à leur tour, en exposant l'autre, elles qui connaissent si bien dans leur chair cette violence.
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L'autre est toujours une menace et une possibilité d'amour.
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Quand il n'existe pas de place pour soi, c'est qu'un pouvoir est à l'oeuvre. Il faut le penser, le contourner. Sa place, on peut l'inventer.
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Nous acceptons les iniquités, tant qu'il nous est possible, au moins par intermittence et à différentes échelles, d'en bénéficier.
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