Nice, 9 mars 1881
La fête est finie, nous partons. Dans quelques jours, nous serons à Saint-Pétersbourg. Là-bas, la ville est encore enfermée dans son hiver. Bientôt viendra le dégel, avec les blocs de glace irisés emportés par la Neva, où se reflètent l’or et les couleurs joyeuses de nos palais. Je vais vivre, enfin, je vais revivre.