Le crépuscule s'installe comme un gros énervé qui s'étale sur son divan, et bientôt le choeur nocturne s'éveille. Le lapin place un euro dans le jukebox. Le blaireau pète sa gueule à la belette. Tout va bien. La chose sensée à faire serait d'ouvrir une autre bouteille, mais ça en ferait huit aujourd'hui. Hmmm...
Pile, j'ouvre, face, je n'ouvre pas... Ah tiens. Encore pile.
(Garth Ennis, en liberté, février 2009 (sorte de préface ? Arf !))