Les policiers savaient quasiment tout sur nous, hormis ce que chacun roucoulait lors de ce magnifique ballet corporel, exécuté en général de manière suave dans l’intimité la plus absolue, chorégraphie indispensable au moral et à la perpétuation de l’espèce humaine. Excepté ce bénéfique divertissement propre au domaine privé, aucun détail ne leur avait échappé.