Il existe pour chacun de nous une maison onirique, une maison du souvenir-songe, perdue dans l’ombre d’un au-delà du passé vrai. Quel privilège de profondeur il y’a dans les rêveries de l’enfant.
Heureux l’enfant qui a possédé ses solitudes. Ainsi par-delà toutes les valeurs positives de protection, dans la maison natale s’établissent des valeurs de songe, dernière valeur qui demeure quand la maison n’est plus.