AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.87/5 (sur 15 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Niort , le 6/11/1872
Mort(e) à : Boston , le 20/12/1937
Biographie :

Gaston Chérau (Niort, 1872 - Boston, 1937) est un journaliste et homme de lettres français.
* Fils d'industriel, il est né le 6 novembre 1872 à Niort, et est décédé le 20 avril 1937 à Boston (États-Unis) au cours d'une tournée de conférences.
* Journaliste et chroniqueur, il livre régulièrement à la presse ses impressions de voyages.

En 1911, il parcourt pour le compte du journal Le Matin la Tripolitaine conquise par les Italiens.
En 1914, il est reporter de guerre pour le journal L'Illustration en Belgique et dans le Nord de la France. Gaston Chérau a écrit la préface de "Nêne'' le prix Goncourt attribué en 1920 à Ernest Pérochon.

* Fertile romancier de la province, sa plume est très influencée par le Berry où il avait des racines familiales, séjourné une partie de son enfance, et où il revint assidûment en vacances dans une résidence secondaire jusqu'à la fin de sa vie.

* Il est élu membre de l'Académie Goncourt en 1926.

* Il s'est aussi intéressé au cinéma en composant les dialogues du film Les Deux mondes (1930) réalisé par Ewald Andreas Dupont.

+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Gaston Chérau   (17)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
« En bon fermier, il savait bien que c’est d’être jolies qui perd les bergères. » (p. 195)
Commenter  J’apprécie          160
« Il eut son sourire des jours de grande dispute, ne prononça pas un mot, ne poussa pas un soupir ; avait-il vraiment compris qu’elle était partie pour toujours ? » (p. 189)
Commenter  J’apprécie          70
« Quand les femmes qui trompent leur mari se mettre à être gentilles, elles ne savent pas s’arrêter. Elles ont le diable si aimable ! » (p. 160)
Commenter  J’apprécie          60
« Il possédait cette puissance des réprouvés dont on redoute les mauvais sorts et les caresses plus que les violences. » (p. 56)
Commenter  J’apprécie          50
« Cette fois, on frissonnait comme au récit d’un conte de méchantes fées. » (p. 42)
Commenter  J’apprécie          50
« Comme elle souhaitait la mort de cette Adeline, qui avait pris sa place à sa table, à son foyer, dans sa maison, chez elle. » (p. 97)
Commenter  J’apprécie          40
« Il n’était qu’une malheureuse petite bête dont les minutes de jeux ressemblaient à celles de ses ennuis. » (p. 53)
Commenter  J’apprécie          40
« Les deux frères avaient le même mouvement en avant, un mouvement de meurtre. » (p. 142)
Commenter  J’apprécie          30
Il se disait qu'à huit ans, on n'est plus un enfant et qu'on sait des tas de choses sur la vie : on sait que le commandement est l'exercice du droit du plus fort, l'obéissance le devoir du plus faible, on sait qu'on doit respecter les amis qui vous roulent et mépriser ceux dont on triomphe.
Commenter  J’apprécie          10
« Si tu veux pas être la honte de chez nous. » (p. 39)
Commenter  J’apprécie          20

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gaston Chérau (28)Voir plus

Quiz Voir plus

Fantômes

Dans quelle pièce de W. Shakespeare le héros est confronté avec le spectre de son père ?

Le marchand de Venise
Richard II
Hamlet
Titus Andronicus

10 questions
21 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}