Citation de genobel
"Prière de ne plus utiliser mes coordonnées - merci"
Cette phrase, reçue par email un certain jour du mois d'août, m'a mise KO. Une phrase balancée comme ça, toute seule. Très administrative, très polie. Je me souviens avoir eu très mal ce jour là et ne pas croire ce qu'il m'arrivait.
Toi dont j'avais régulièrement, voir journellement, des nouvelles, tu m'obligeais à accepter ton silence et à ne plus me manifester. Depuis, je suis en attente d'un signe de toi. J'espère encore, malgré le temps qui passe parce que je me refuse à croire qu'une amitié peut s'arrêter comme ça d'un seul coup, brusquement, et, sans explications.
Le temps passe. Six mois se sont écoulés et je continue à souffrir. Différemment bien sûr avec le temps mais je mentirais de dire que je ne pense plus à toi.
J'ai cru que je pourrais accepter ton silence par respect pour toi et par la force de mes sentiments. J'ai vraiment pensé que j'y arriverai en essayant de me persuader que c'était "ce qui te rendrait sereine". Mais, au plus profond de moi, je ne suis pas certaine que ces derniers mois aient été faciles pour toi psychologiquement. C'est pourquoi je t'ai écrit trois fois ces six derniers mois. C'était plus fort que moi. Tu as choisi de répondre par le silence.
Cette phrase, reçue par email un certain jour du mois d'août, m'a mise KO. Une phrase balancée comme ça, toute seule. Très administrative, très polie. Je me souviens avoir eu très mal ce jour là et ne pas croire ce qu'il m'arrivait.
Toi dont j'avais régulièrement, voir journellement, des nouvelles, tu m'obligeais à accepter ton silence et à ne plus me manifester. Depuis, je suis en attente d'un signe de toi. J'espère encore, malgré le temps qui passe parce que je me refuse à croire qu'une amitié peut s'arrêter comme ça d'un seul coup, brusquement, et, sans explications.
Le temps passe. Six mois se sont écoulés et je continue à souffrir. Différemment bien sûr avec le temps mais je mentirais de dire que je ne pense plus à toi.
J'ai cru que je pourrais accepter ton silence par respect pour toi et par la force de mes sentiments. J'ai vraiment pensé que j'y arriverai en essayant de me persuader que c'était "ce qui te rendrait sereine". Mais, au plus profond de moi, je ne suis pas certaine que ces derniers mois aient été faciles pour toi psychologiquement. C'est pourquoi je t'ai écrit trois fois ces six derniers mois. C'était plus fort que moi. Tu as choisi de répondre par le silence.