A part lui, père et la Marzotko, il y avait toujours d'autres personnes, des copains de bistro, des amis de rencontre et des filles.
J'entrais dans ma sixième année et j'épiais avidement cette mare. On commençait par se disputer. On parlait politique. Quelques-uns des hommes étaient syndiqués. Il y avait même des anarchistes, des révolutionnaires. On faisait des discours. Chacun employait les arguments de son parti. Les autres criaient à tue-tête. On n'arrivait jamais à un résultat quelconque. Personne d'ailleurs n'écoutait les autres. Chacun voulait exprimer ses opinions.
Tout ceci finissait par des disputes. Le capitalismes, le militarisme, la monarchie...lorsqu'ils en arrivaient là, ils étaient tous ivres.