Que ce soient deux âmes qui ont souffert, deux intelligences souffrantes, deux aigles blessés qui se rencontrent dans le ciel, et qui échangent un cri de douleur, avant de se séparer pour l’éternité. Que ce soit pour un embrasement, chaste comme l’amour céleste, profond comme la douleur humaine,. Ô ma fiancée! pose moi doucement la couronne d’épines ; et adieu ! Ce sera le dernier souvenir que conservera ta vieillesse, d’un enfant qui n’y sera plus.
Alfred