Elle se faisait ce raisonnement que les chevaux ne se plaignaient pas des coups de fouet, ni les boeufs des coups d’aiguillon, ni les chiens des coups de pied, parce que leur sort était de recevoir tout cela, comme elle, qui était quasiment comme les bêtes, lesquelles n’ont point de famille et sont trop heureuses de servir les gens qui les font manger, sans quoi elles mourraient de faim.