Mais, justement, si métro et tour Eiffel se sont beaucoup reproduits à l'identique en maintes villes de la planète, n'est-ce pas l'indice qu'ils sont des archétypes universels ?
Comment se fait-il que ces deux endroits, parmi les plus typiques du paysage parisien et de la vie parisienne, soient devenus à ce point des hauts lieux du suicide ? (p.10)