« Jamais, depuis, il n’avait si bien senti sa propre vie et celle de l’univers se mélanger, son cœur battre au même rythme que la terre, que les herbes qui l’entouraient, que le feuillage des arbres qui bruissaient au-dessus de sa tête. Son pouls devenait le pouls du monde et il était attentif à tout, aux mouvements des sauterelles, à la fraîcheur de la terre qui lui pénétrait dans le dos et aux rayons du soleil qui lui cuisaient la peau […] »