“Non seulement vous sentez mauvais, monsieur Kempenaar, car vous sentez mauvais, ce qui m’oblige à fumer dès que vous entrez dans mon bureau, mais encore vous trahissez pour le plaisir de trahir, pour vous mettre bien avec quelqu’un qui pourrait vous être utile un jour… vous me dégoûter, monsieur Kempenaar… vous pouvez disposer… bonsoir, monsieur Kempenaar…”