Gérald Vignaud

En ce début du 21ème siècle, manger est plus que jamais devenu un acte à la fois politique et spirituel. Tu ne peux pas te dire ami des animaux et de la Terre en te nourrissant respectivement de leur souffrance et de la destruction de celle-ci.

Le Bien et le Mal sont deux des forces fondamentales de l’Univers. Le Bien étant plus puissant que le Mal, mais le Mal nettement mieux organisé.

Lorsque tu étais enfant, tu ne pouvais que subir et tu étais victime des circonstances. Mais maintenant que tu es adulte, tu es victime de tes décisions.

Tu te dois d’investiguer tes croyances pour, éventuellement, les remettre en question et les faire évoluer.

Ce n’est pas ce que tu as fait jusqu’à maintenant qui compte, mais véritablement ce que tu vas faire à partir de maintenant !

Le plastique inonde et défigure notre planète. Et nous sommes tous responsables.

À l’échelle de l’Univers, nous sommes tous, sans exception, du Président des États-Unis aux derniers des clodos toxicos, des micro-poussières de merde.

Il est incohérent d’aimer à la fois les animaux et le goût des animaux.

Mais l’honnêteté ne paie pas, diront certains. Et alors, qu’est-ce que ça change ? L’honnêteté est une valeur, pas un investissement !

Au 21ème siècle, ce ne sont pas les plus gros qui vont manger les plus petits mais les plus flexibles qui vont manger les plus rigides.

Symbole de l’émergence de la technologie et de la raréfaction de nos ressources, avant l’eau était gratuite et la musique payante. Maintenant, c’est l’inverse ! (et ça, ça craint !)

« Qu’est-ce que la vie ? », « Qu’est-ce que le sens de la vie ? » et « Qu’est-ce que le sens de ma vie ? » sont les 3 questions fondamentales que chaque être humain devrait se poser.

Chaque morceau de plastique que nous utilisons aujourd’hui est une dette écologique que nous laissons au enfants de demain.

Au lieu de vouloir trouver des formes de vie sur les autres planètes, pourquoi ne pas d’abord chercher à préserver celles qui sont sur la Terre ?

La réussite d’une personne ne se mesure pas à l’argent qu’elle gagne mais a la qualité de ce qu’elle apporte au reste du monde.

À l’échelle de l’Univers la vie d’une libellule a autant de valeur que celle d’un Homo sapiens.