La dernière fois, c’était il y a quelques jours, Vilma s’est imaginée dans la Sierra Maetra, la montagne où les guérilleros avaient installé leur base à la fin des années 1950. Elle se voyait, du haut de ses douze ans, aux côtés de Fidel Castro, de Che Guevara et de Vilma Espín, la révolutionnaire dont elle porte le prénom.