Sido a vite compris, malgré son chagrin, que le décès de son époux la met dans une situation financière très précaire : « Je ne suis pas riche, et sans Achille et Gabri, je serais dans de beaux draps ! » Que laisse-t-il en effet à sa « chère âme », le sémillant capitaine de zouaves ? A peu près rien.