L'écrivain avait en fait, dans sa fureur, écrit un long monologue sur le caractère inacceptable des souffrances du peuple noir et de tous les peuples colonisés en général.
On s'en est pleinement avisé lorsque Antoine Vitez a lu le texte dans sa quasi-intégralité en 1989 sur la scène d'Avignon. C'est un réquisitoire d'une puissance inouïe que le public a pu entendre.