Gérard Demarcq-Morin fut remarqué par Jean Callens, directeur du Furet du Nord, qui lui permit dans les années 90 de publier romans et bandes dessinées en collaboration avec la Région Nord-Pas-de-Calais. Il a reçu en 1992 le prix Renaissance Française pour son roman "Le Grand Débord".
Il est l’auteur de romans historiques qui offrent aux lecteurs une autre image du Nord .
"Et si j'aurais tué Adolphe"
"Le Diable en la cité"
"Le Sceptre de Pharaon"
"Le Diable en la Cité"
"Le Nichôt. Une fresque extraordinaire : à Lille et dans sa région, au XVIIe siècle"
"Le Grand Débord"
"Le Boutefeu"
"La Vierge d’équinoxe"
Quelque part dans le Nord de la France, à une heure de bicyclette du front ; dans un lieu rebaptisé « Paradies » par les occupants, lors de la grande guerre.