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Citation de lechristophe


A l’époque les remplacements n’étaient pas autorisés.
Les poudres prennent feu quand le Marseillais Rabih répond d’un coup de boule en pleine tête au Lillois Lutterlock qui lui a astiqué les chevilles. L’arbitre, M. Féron, expulse les deux joueurs.
Et il prend une décision identique quand, quelques minutes plus tard, l’Anglo-Lillois Barret et l’Anglo-Marseillais Trees en viennent aux mains. Excédés, les Nordistes réclament l’arrêt du match et des hostilités. M. Feron ne peut que refuser. Ils décident donc d’arrêter de jouer en restant sur le terrain. On les voit renvoyer la balle systématiquement aux Marseillais un peu interloqués par la situation.
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