Never more
Je tourne ma fange dans sa boue
jusqu’à
sept fois dans la semaine
du 1er de l’an
jusqu’à
la Saint-Sylvestre.
Mais déjà
le temps qui passe jamais ne se recompte
et,
au défilé des refrains séculaires,
je rêverai souvent d’autres aubes diamantaires.
Jamais plus ne viendras
toi,
la compagne éprise.
J’ai beau tourner et retourner dans ma tête
cette musique qui m’obsède,
il est bien tard déjà
pour conjuguer le verbe aimer...